Comment entraînons-nous notre cerveau à haïr notre corps ?

aimez son corps…. ça commence bien !

Yoga Magique

miroirQuand vous regardez votre corps dans le miroir, où est ce que votre attention est attirée en premier ? Si vous êtes comme la plupart des femmes, vos yeux vont instantanément être conduits vers les parties de vous-même que vous voulez changer, les parties que vous détestez. Vous zoomer sur vos problèmes.

Peut être rentrez-vous votre ventre ou utilisez-vous vos mains pour lever ou tendre quelque-chose qui s’affaisse, et vous maudissez votre corps pour regarder ce que ça donne. Pourquoi n’êtes-vous pas différente ? Hein.

Si ce vilain petit rituel vous est familier, vous n’êtes pas la seule. La plupart d’entre nous, ne croient vraiment pas ceux qui nous disent qu’on est bien (ou même géniale !). Et nous autorisons les pensées négatives à propos de notre apparence, nous dicter comment agir. Nous décidons de nous habiller d’une certaine manière, de nous comporter d’une certaine manière, et de poursuivre certaines carrières et…

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Comment entraînons-nous notre cerveau à haïr notre corps ?

miroirQuand vous regardez votre corps dans le miroir, où est ce que votre attention est attirée en premier ? Si vous êtes comme la plupart des femmes, vos yeux vont instantanément être conduits vers les parties de vous-même que vous voulez changer, les parties que vous détestez. Vous zoomer sur vos problèmes.

Peut être rentrez-vous votre ventre ou utilisez-vous vos mains pour lever ou tendre quelque-chose qui s’affaisse, et vous maudissez votre corps pour regarder ce que ça donne. Pourquoi n’êtes-vous pas différente ? Hein.

Si ce vilain petit rituel vous est familier, vous n’êtes pas la seule. La plupart d’entre nous, ne croient vraiment pas ceux qui nous disent qu’on est bien (ou même géniale !). Et nous autorisons les pensées négatives à propos de notre apparence, nous dicter comment agir. Nous décidons de nous habiller d’une certaine manière, de nous comporter d’une certaine manière, et de poursuivre certaines carrières et relations, toutes fondées sur comment nous pensons que nous sommes. Ce comportement est tellement courant que nous reconnaissons à peine à quel point c’est le bazar.

Réalisez combien vous entendez souvent les gens dire des choses telles que : « Oh, j’ai vraiment besoin de me remettre en forme » quand ils remarquent une partie de leur corps qui gigotte ou qui tremblotte. Nous acquiesçons tous et sommes d’accord pour faire comme si nous ne remarquions pas que ce qu’ils disent réellement c’est : « Je souhaite être différent », ou même « je me dégoûte moi-même ». Nous nous baladons en répétant des phrases enrobées du sucre de l’autodérision, nous supportant aveuglément les uns les autres dans nos mauvaises habitudes.

Mais le problème n’est pas votre corps. Ne me faites pas dire de bêtises, être en forme est génial. Je suis super fan. En plus, le processus d’apprentissage est une grande bénédiction pour vous même. Mais, être obsédé à propos de ce que vous voulez changer (ou comment) vous tient éloigné du vrai problème. Le vrai problème, c’est comment le cerveau traduit ce qu’il voit et comment vous l’avez entrainé à traduire qui vous êtes.

La blague que vous fait votre cerveau

Votre cerveau est constamment en train de former une image fondée sur toutes les indices et les informations qu’il reçoit via vos sens et vos sentiments. Les hormones, qui répondent à vos états mentaux et émotionnels, affectent cette image. Par exemple, juste après le sexe, alors que vous êtes allongé, baigné dans l’ocytocine et la dopamine, votre partenaire vous paraît très beau, non ?

Ou, disons que votre ex sort maintenant avec une (supposée) blonde super belle. Alors que vous l’espionnez sur Facebook (pas de jugement), votre cerveau va changer son image de telle manière, qu’à vos yeux, elle n’ai plus du tout l’air attirante. Votre esprit trouve des indices pour confirmer qu’elle ressemble à une pétasse stupide qui ne serait pas si jolie sans tout ce maquillage. Si vous avez déjà rencontré cette fille dans d’autres circonstances, alors votre cerveau aura réuni des images totalement différentes. Et si elle s’approchait timidement de vous au bureau en espérant quelques conseils, elle paraitrait alors irrésistible !

Le point c’est que votre cerveau utilise constamment les indices dans le contexte et aussi comment vous vous sentez à propos des choses de la vie pour former l’image de ce que vous voyez.

Ce que nous voyons quand nous regardons dans le miroir

La plupart des femmes se sont inconsciemment entrainées elles même à chercher (et à trouver) tous les défauts de leur visage et de leur corps. Au cours des années (spécialement les années formatives durant la puberté), beaucoup de filles et de femmes vont regarder dans le miroir et se plaindre. Peut être que ce sera une habitude si engrangée, un rituel tellement automatique de haine de soi, que vos yeux vont inévitablement aller droit vers ces défauts chaque fois que vous voyez ce reflet.

Nous avons entrainé cette compétence depuis si longtemps, et si souvent que quelques fois, nous ne pouvons même plus voir ce que les autres gens trouvent beau ou sexy en nous. Nous ne sommes pas volontairement rudes quand nous ne sommes pas d’accord avec les compliments qui nous sont fait. Cela paraît juste évidemment faux.

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Ce à quoi nous nous entrainons détermine les résultats que nous voyons. Nous nous sommes exercé toute notre vie à de la mauvaise estime de nous et à avoir une image négative de notre corps. Mais cela ne signifie pas que nous soyons bloqués. Avec toute l’expérience que nous avons de notre cerveau dans ce bazars, nous pouvons l’en sortir.

8 trucs pour entrainer votre cerveau à aimer votre corps

1.    Regardez le positif,

Quand vous regardez votre visage ou votre corps dans le miroir (ou des photos), dirigez volontairement votre regard vers les choses que vous aimez à propos de vous même – et attardez vous. Dites des choses gentilles à leur propos et laissez-vous imaginer comment les autres gens les admirent également.

2.   Embrasser l’image générale

Laissez vos yeux vagabonder légèrement à la surface de votre visage et de votre corps, sans s’arrêter ou penser à ce que vous voulez changer.

Vous êtes plus qu’un assemblage de morceaux. Vous êtes une personne entière, et vous méritez d’être considérée dans votre ensemble.

3.   Réalisez que vous avez le choix

Allez-vous vous trouver endormie dans des habitudes négatives ? Bien sûr ! Mais souvenez-vous que vous avez le choix : allez-vous le donner aux vieilles habitudes ou allez-vous choisir de nouveaux schémas ?

4.   Impressionnez-vous

Défoncez tout au travail, repoussez vos limites à la gym, apprenez une compétence ingénieuse. Ce que c’est, n’a pas d’importance, tant que vous pensez que c’est impressionnant. Se concentrer sur ce que vous pouvez faire, au lieu de ce à quoi vous ressemblez, est une partie importante de la reprogrammation du cerveau.

5.   Explorez votre corps

Prenez rendez-vous pour… vous masturber ! (Oups, on y est !) Vous feriez mieux d’explorer alors, prenez votre temps. Remarquez les lignes et les courbes de votre corps. Imaginez ce qu’un amoureux (passé, futur ou imaginaire !) doit voir quand il vous regarde. Admirez et explorez-vous depuis ce point de vue ou de n’importe quel autre point de vue qui vous permette de vous voir juste bien.

6.   Exercez-vous à arrêter de vous comparer aux autres femmes

Nous avons chacune nos propres cadeaux à offrir, et la beauté des autres femmes ou leurs succès, ne nous enlèvent pas les vôtres. Vous ne compareriez pas une rose à une marguerite et ne concluriez pas que l’une est belle et l’autre moche.

7.   Et souvenez-vous qu’elles sont aussi humaines

Même la plus « parfaite » des femmes a un paysage émotionnel riche et chaotique, rempli de ses propres perceptions tordues, insécurités, ou difficultés. Cela peut paraître idiot ou fou d’imaginer qu’une femme magnifique et bien faite puisse se sentir mal à l’aise, mais vos propres insécurités peuvent sembler idiotes ou folles à quelqu’un qui est moins bien fait que vous.

8.   Souvenez-vous que vous démolissez une vie entière de critique du visage et du corps.

Cela ne va pas arriver en une nuit. Pratiquez. Soyez patient. Ayez de la compassion. Continuez d’avancer.

 

traduit de l’américain par mes soins. C’est une publication invitée, écrite par Jessi Kneeland, qui apparaît originellement sur JessiKneeland.com.

Pour apprendre plus à propos d’elle, lisez son blog, et suivez là sur Twitter, Facebook et Instagram.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les effets de la lune sur votre cerveau et votre corps

 traduction de l’américain par mes soins d’après l’article de « Feelguide » – 17 août 2011 – santé, psychologie, science, cerveau humain, l’univers, l’inexpliqué.

lune et soleil

Nous sommes seulement au début de l’année mais déjà la pleine lune obtient le premier prix pour le nombre de conversations que j’ai eu avec des amis, à propos de son pouvoir et de son l’influence sur notre physiologie et nos esprits.

Il y a clairement quelque chose de majeur qui se passe quand le soleil claque directement sa pleine lumière sur notre lune bien-aimée dans les petites heures de la nuit. J’ai fait quelques recherches et ici se trouvent certains des faits les plus croustillants que j’ai découvert.

  • Les médecins généralistes anglais rapportent constamment une poussée massive de 30 000 patients et plus, exactement dans les 5 et 6 jours qui suivent la pleine lune. De nombreuses études ont montré que la goutte, la pseudo goutte, les menstruations, la folie, l’alcoolisme, l’épilepsie, la dépression, les urgences, les accidents de la route, l’absentéisme, l’anxiété, les activités sexuelles, les homicides, l’insomnie, les diarrhées sont spécialement influencés par la pleine lune.
  • Il y a une augmentation de 8% de la taille des repas le jour de la pleine lune, et une augmentation de 25% de la consommation de boissons. Des chercheurs italiens ont aussi prouvé que les naissances avaient tendance à se regrouper autour de la pleine lune.
  • Il a aussi été largement annoncé que, si la force gravitationnelle de la lune est suffisante pour provoquer la montée des océans, elle peut aussi affecter les glandes et les organes. Comme certaines personnes sont touchées plus que d’autres, cela suggère qu’elles sont des cas exceptionnels qui basculent dans la maladie chaque mois par le pouvoir de la lune (le corps humain est composé de 70% d’eau).
  • Lunatique est un autre nom pour folie qui vient du latin « Luna » qui signifie lune.
  • Les réactions hormonales aux taux d’ions positifs dans l’air provoqués par une pleine lune, ont pour résultats l’hyperactivité, dépression, comportement violent, rage au volant, des migraines et de l’asthme plus fréquent. Même les abeilles sont connues pour piquer sans raison plus fréquemment.
  • Les attaques de gouttes culminent durant la pleine lune à cause du changement des champs géomagnétiques. La lune exerce une traction sur l’eau dans le corps, qui entraine des effets en cascade, incluant des changements dans les rythmes internes du corps. La glande pinéale est aussi directement affectée par la lumière de la lune et les températures légèrement différentes. (la glande pinéale, aussi connue comme le « troisième œil » est une petite glande endocrine dans le cerveau vertébral. Elle produit la sérotonine, un dérivé de la mélatonine, une hormone qui affecte l’alternance des rythmes veille/sommeil et l’adaptation aux saisons).
  • La pleine lune a un petit effet gravitationnel/déséquilibrant sur les pathogènes ce qui rend le corps plus toxique.
  • Si vous respirez de grandes quantités d’ions positifs sans un montant équivalent d’ions négatifs, vous allez devenir léthargique et dans certains cas malades. Une haute concentration d’ions négatifs dans l’air est associée avec la pleine lune. Il a été démontré que de l’air contenant plus d’ions négatifs et peu d’ions positifs est bénéfique et sans effets secondaires. C’est pourquoi les générateurs d’ions négatifs sont vendus partout dans le monde. Les ions négatifs sont trouvés dans leurs plus hauts niveaux naturels : au bord des côtes, dans les forêts, et près des chutes d’eau et des rapides.
  • Pour 25% de la population, dans l’environnement du travail, avec des taux d’ions positifs élevés, des améliorations de la productivité ont eu lieu à court terme (attribuées à une hyperproduction d’adrénaline). Après des durées d’expositions étendues à des ions positifs, cette augmentation de la productivité tourne rapidement à des performances faibles (attribuées à une glande adrénaline affaiblie ou épuisée). Une fois que la glande adrénaline est épuisée, le corps doit alors compter avec les excès de sérotonine. Sans adrénaline pour équilibrer les effets secondaires de la sérotonine, la sérotonine devient une ennemi majeur pour les hommes comme pour les animaux et mène à ces effets secondaires : anxiété, nervosité, tremblements, sudation, vertiges, étourdissements, bouche sèche, nœuds à l’estomac, perte d’appétit, nausées, vomissements, diarrhées, ballonnements, éruption cutanée, démangeaisons, et changements dans le comportement sexuel. Ce « burn out » d’adrénaline arrive les jours d’après la pleine lune et nous renvoie au premier point de la liste.

 

Définition :

Une pleine lune est une phase lunaire qui se produit quand la lune est du côté opposé de la Terre par rapport au Soleil. Plus précisément, une pleine lune se produit quand les longitudes géocentriques apparentes (elliptiques) du soleil et de la lune diffèrent de 180 degrés. La lune est alors en opposition avec le soleil. Vu de la Terre, l’hémisphère de la Lune qui lui fait face (la face proche) est presque entièrement illuminé par le soleil et apparaît rond. Seulement pendant la pleine lune, l’hémisphère opposé de la lune est complètement noir. Le temps d’intervalle entre deux phases lunaires similaires est de 29,53 jours. Donc dans le calendrier lunaire, la pleine lune tombe soit le 14 soit le 15 du mois. Parce que les mois lunaires ont un nombre entier de jours, ils peuvent durer 29 ou 30 jours.

Vipassana, 10 jours de méditation

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1. Présentation générale

Vipassana est une technique de méditation qui trouve les origines de son actuel développement au milieu du XX° siècle, en Birmanie.

Après avoir connu le succès financier dans son entreprise, un birman de confession hindouiste, S.N. Goenka, souffrait tellement de migraine qu’il a tout arrêté dans sa vie pour trouver un soulagement à sa souffrance permanente. 10 ans plus tard, après avoir rencontré tous les plus grands médecins du monde occidental, de la Suisse à l’Angleterre, des Etats-Unis au Japon, rien ni personne n’avait su solutionner son problème. La seule alternative a la souffrance a été la prescription a doses toujours plus grandes de morphine. Au bout du compte, il retourna chez lui, toujours avec sa migraine et dépendant à l’opium.

C’est sans plus d’espoir qu’il rencontra un grand maître de la méditation Vipassana : Sayagyi U Ba Khin. Celui-ci lui assura que la méditation qu’il enseignait était respectueuse de toutes les religions, étant simplement une pratique de concentration physique et mentale. S.N. Goenka était un hindou fervent et c’est seulement après plusieurs semaines d’hésitation que la perspective de soigner sa douleur l’a finalement convaincu d’essayer une première retraite de 10 jours. Comme c’est encore le cas aujourd’hui pour tous les participants sans exception, il du respecter le règlement intérieur et donc arrêter à la fois sa consommation de morphine et les rites hindous, pour « laisser toutes ses chances » à la nouvelle méthode qu’il allait apprendre.

50 plus tard, Goenka est devenu l’ambassadeur de cette technique qui a conquis le monde entier puisque des retraites sont organisées sur tous les continents, et qu’il l’a présenté lors d’une conférence aux membres de l’ONU, mais également au cœur de la connaissance scientifique actuelle : le Machassusset Institute of Technology, bien connu sous le sigle M.I.T.

Concrètement, j’ai participé à une retraite de 10 jours au Guatemala. Le centre guatémaltèque a organisé cet hiver sa 14ème session. Ouvert depuis 2007, ce fut la première fois que les participants hommes et femmes comptaient exactement le même nombre et que la majorité des bénévoles étaient des guaté.

Tout ça pour dire que l’ambiance n’avait rien à voir avec celle que l’on trouve dans les Eco-retraites de luxe réservées aux occidentaux. Ici on donne ce que l’on veut à la fin des 10 jours selon son budget, ce qui ouvre la porte à des personnes motivées aux revenus modestes. Et donc nous n’étions que 4 ou 5 occidentales parmi une trentaines de méditantes venus du Guatemala ou des Pays voisins comme le Salvador et le Nicaragua.

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2. Expérience pratique

Voilà pour la présentation générale. Maintenant passons à la pratique : réveil tous les jours à 4h/4h30 du matin, coucher tous les soirs à 21h/21h30, le reste de la journée se passe dans le silence total et dans la méditation. Interdiction formelle de communiquer sous toute forme que ce soit, interdiction de lire, d’écouter de la musique, d’écrire. Cette limitation importante des activités quotidiennes permet une intensité de concentration intérieure formidable. Impossible de parler de soi aux autres, de se comparer, d’envahir ou de se sentir envahie par l’Autre. Tout ce temps n’est rien que pour nous.

On commence par méditer uniquement sur l’observation du souffle qui entre et sort des narines. 14h par jour pendant 3 jours. Ouèèèèèèèè ! Maintenant vous voyez où se trouve la difficulté. Impossible de s’échapper d’une quelconque manière ! Les premiers désistements arrivent souvent à la fin du second jour, pour ceux qui ne supportent pas la proximité avec eux même.

Pour moi, ce qui c’est passé à ce moment là c’est qu’ Enfin ! J’ai pu me concentrer sur mes petits problèmes. J’ai commencé par analyser mes principales préoccupations et prendre des décisions… et puis le temps a passé, les stratégies changèrent, évoluèrent, … un pas en avant, deux pas en arrière… Et finalement je me suis clairement rendue compte que toute cette analyse stratégique (merci les longues études) c’est beau sur le papier mais dans la vraie vie, je change d’avis comme de chemise et en fonction de mon humeur, de mon niveau d’énergie et de ma capacité à éprouver de l’espoir ou au contraire à être déprimée… : tout change … tout le temps ! Autant dire que toutes ces réflexions étaient vaines. Alors j’ai lâché prise et j’ai commencé à méditer sur les enseignements de Goenka que nous écoutions avec joie tous les soirs vers 20h30. Car Goenka est le seul à pouvoir parler et qu’il ne se prive pas de se moquer et de faire des blagues. Ce grand homme est décédé en 2013 mais tous les enseignements dispensés pendant les retraites sont des enregistrements qui datent des années 80’s.

Ensuite les 7 jours suivants furent consacrés à la méditation Vipassana pure. Après avoir affûté notre attention avec l’exercice de la respiration, nous passions en revue tout notre corps. Et à ce moment là arriva la grande leçon : Observation avec compassion et équanimité. On ne fit qu’OBSERVER et non relaxer, et non guérir, et non reprogrammer ou quoi que ce soit.

marion méditation clair de lune

3. Les liens avec mes recherches spirituelles

J’ai fauté, telle Pandore qui ouvre le coffre contenant tous les malheurs des hommes. J’ai commencé très jeune fille mes recherches et j’ai été piquée de curiosité. Alors j’ai erré à la recherche de la Vérité avec un grand « V » dans tous les sens, dans de nombreux pays, avec divers supports.

Pour faire court, la méditation Vipassana est la vérité que je souhaite chérir et nourrir. Sa simplicité, son efficacité et la résonance qu’elle possède avec ma pratique, lui offrent une place de choix dans mon quotidien maintenant et pour le restant de ma vie. C’est fort me direz vous, j’avoue que je suis une idéaliste ! D’autre part, j’ai essayé tellement de choses, trouvant toujours des contractions, des paradoxes qui remettaient en question tout l’édifice… Je ne m’étendrai pas plus sur mes erreurs, laissant à chacun la possibilité d’apprendre ses leçons ;).

L’observation des sensations de mon corps avec équanimité est depuis 15 jours une activité que je pratique 1h/12h, donc une fois le matin et une fois le soir.

Je préfère cette technique aux autres que j’ai pu tester car elle a un support physique : le corps humain. Ceci a deux avantage : c’est sensoriel donc on se concentre facilement. Et le second c’est que nous nous mettons à l’écoute de l’intelligence du corps, un concept fondamental dans les pratiques physiques spirituelles comme le yoga.

Comme j’ai commencé à méditer dès ma sortie le 6 janvier, j’ai pu noter les différences entre là bas et ici, notamment ma descente vibratoire depuis que je suis sortie de mon environnement privilégié d’apprentissage. Ensuite j’ai également remarqué que certains matins, la nuit ne m’a pas reposée. Après une heure de méditation, je me sens rafraichie et pleine d’énergie. Ceci fonctionne aussi pour le soir, entre la journée de travail et le début de la vie privée.

Les deux combinés, j’ai accès à une somme d’informations qui m’intéressent car elles me concernent directement (mon égocentrisme est utilisé comme une source de motivation !) et qui me permettent de mieux me connaître. Donc je développe un fort ancrage intérieur qui me permet d’agir selon mes choix conscients au lieu de réagir à la somme des facteurs qui constituent mon environnement intérieur et extérieur.

Tout ceci repose sur une notion bouddhiste : l’impermanence. En acceptant que tout change, je me regarde avec équanimité, j’accepte ce que je suis ici et maintenant. Je sais que le passé n’existera jamais plus et que le futur n’existe pas. Je sais que les seules décisions que je peux prendre sont au moment présent. Quand je dis « je le sais » le sens est plus proche de « je le vis ».

Et tout ceci a pour conséquences que j’accepte de laisser mourir mon « moi » car je réalise dans mon corps que « je » n’existe pas. Seules existent mes valeurs et seules les actions menées sous leur guidage existent. Voir le livre intitulé « un cours en miracle ». J’accepte d’être prisonnier de la matière et donc de n’être que le féminin passif qui se retourne vers l’esprit, le Un indivisible. J’accepte de n’être qu’un canal car je prends conscience que seule ma conscience existe.

Pour finir un petit résumé en mathématiques de ce que j’ai compris suite à 15 années de recherches… le Un indivisible en devenant vivant perd tout son pouvoir (c’est la bonne excuse de Dieu pour ne rien faire pour nous pauvres humains) et c’est le 2, le reflet du 1 qui reçoit ces pouvoirs. Mais ces pouvoirs sont sauvages, indomptés car c’est le propre de la matière d’être aveugle, impitoyable. Le 2 s’il veut retrouver sa conscience et sortir de sa prison, du cycle de l’alternance de la souffrance et du plaisir, doit se retourner vers le 1, lui laisser toute la place, lui rendre tous ces pouvoirs. Vipassana c’est la mise en pratique de cette connaissance.

les bienfaits du jeûne

Après les fêtes, pour aider votre corps et vous préparer une fin d’hiver agréable, sans fatigue, sans stress et de bonne humeur (si si c’est possible), voyez ce que je vous conseille : jeûner !

Il y a 10 ans déjà, alors que je poursuivais mes études à science po bordeaux tout en vivant chez mon enseignante de yoga, j’ai eu le bonheur de passer un mois du 10 Janvier au 10 février, à jeûner, à me détoxifier, et à faire du sport intensément. Arrivée en février je pétais le feu !!! Et j’ai pu constater une très grande différence avec mes camarades de classe…

Alors si j’ai un conseil, laissez tomber vos envies de cocoonage, de chocolat, de lecture au coin du feu. Faites comme le soleil et repartez dans votre saison active. Oui ! Dès maintenant ! Brûlez toute l’énergie accumulée à coup de festins et de moments en famille qui vous ont boosté le moral pour appliquer vos bonnes résolutions. Et je vous le garantis vous allez être fier de vous, vous allez vous sentir bien, laisser cette vilaine tendance dépressive de côté, et être de bonne humeur !

Au programme : si dessous un article qui développe des arguments et des méthodes pour jeûner, puis une proposition de stage en alimentation vivante au printemps en Charente Maritime avec « La roulotte de Mandoline » pendant lequel j’interviendrai pour un cours spécial « activation des émonctoires ».

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Les neuroscientifiques nous montrent ce que le jeûne fait à notre cerveau et pourquoi les grandes industries pharmaceutiques ne vont pas l’étudier.

11 décembre 2015, Arjun Walia

traduit de l’américain par mes soins

En dessous se trouve la vidéo (en anglais) d’une conférence TEDx de Mark Mattson, l’actuel chef de laboratoire de neuroscience à l’institut national de vieillissement des Etats-Unis. Il est aussi professeur de Neuroscience à l’Université John Hopkins, et l’un des chercheurs d’avant-garde dans le domaine des mécanismes cellulaires et moléculaires qui sous tendent plusieurs maladies dégénératives telles que Parkinson et Alzheimer.

video Dr Mercola

Dr Mark Mattson at TEDex

J’ai décidé d’inclure « grandes industries pharmaceutiques » dans le titre car c’est exactement de quoi il en retourne. Il y a des exemples innombrables de la manipulation des recherches publiées par des compagnies pharmaceutiques ces dernières années.

  • ·      Ainsi le professeur de médecine d’Harvard, Arnold Symour Relman, a dit à tout le monde que la profession médicale avait été rachetée par l’industrie pharmaceutique.
  • ·      Et c’est pourquoi le Docteur Richard Horton, éditeur en chef de « The Lancet », a récemment dit : « Beaucoup de la littérature scientifique publiée aujourd’hui est simplement fausse. »
  • ·      Et aussi, le Docteur Marcia Angell, dernière éditrice en chef de «  The New England Journal of Medecine », a dit que « l’industrie pharmaceutique aime se présenter elle-même comme une industrie fondée sur la recherche, et comme la source de médicaments innovants. Rien ne peut être plus loin de la vérité ».
  • ·      Et encore, John Ioannidis, un épidémiologiste à l’Université de médecine de Sandford a publié un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherches publiées sont faux ». Cet article est celui qui a été le plus consulté dans toute l’histoire de la bibliothèque publique de science !

J’ai également choisi de mentionner les « grandes industries pharmaceutiques » à cause des commentaires du Dr Mattson à la fin de la vidéo. « Pourquoi est ce que le régime alimentaire normal est de 3 repas par jours, plus les en-cas ? Ce n’est pas parce que c’est le régime le plus sain. Maintenant ce n’est que mon opinion, mais je pense qu’il y a beaucoup de preuves pour soutenir cela. Il y a beaucoup de pressions pour que nous suivions ce modèle, parce qu’il y a beaucoup d’argent en jeux. Si l’on s’interroge du point de vue de l’industrie agroalimentaire : Vont-ils gagner de l’argent si on saute le petit-déjeuner comme je l’ai fait aujourd’hui ? Non ! Ils vont perdre de l’argent. Si les gens jeûnent, l’industrie agroalimentaire perd de l’argent. Et les industries pharmaceutiques ? Que ce passerait-il si les gens faisaient des exercices réguliers, des jeûnes par intermittence et étaient très sains ? Est-ce que l’industrie pharmaceutique ferait de l’argent avec ces personnes très saines ? »

Les points principaux de la conférence et les points scientifiques qui vont avec :

Mark et son équipe ont publié plusieurs articles qui examinent le fait de jeûner 2 fois par semaine et ont réalisé que le jeûne puisse significativement réduire les risques des maladies à la fois de Parkinson et d’Alzeiheimer.

Mattson et un autre chercheur ont déclaré en Janvier dans le journal « Nature Review Neuroscience » que :

« Les changements de régime sont connus depuis longtemps pour avoir des effets sur le cerveau. Certains enfants qui souffrent de crises d’épilepsie ont été placés sous restriction calorique ou sous jeûnes. On croit que le jeûne donne un coup de pouce aux mesures de protection qui aident à contre balancer les signaux surexcités que les cerveaux des épileptiques reçoivent souvent. (Certains enfants épileptiques ont également bénéficié d’un régime spécifique : élevé en gras et faible en glucides.) Les cerveaux normaux, quand ils sont trop nourris, peuvent déjà expérimenter une autre sorte d’excitation incontrôlée qui altère les fonctions cérébrales. »

Fondamentalement quand vous jetez un coup d’œil aux études de restriction calorique, nombreuses sont celles montrent une espérance de vie prolongée ainsi qu’une capacité améliorée de combat des maladies chroniques.

« Les restrictions caloriques (RC) prolongent la vie et retardent les maladies sénescentes (liées à l’âge) chez une grande variété d’espèces incluant les rats, les souris, les poissons, les mouches, les vers de terre et les levures. Le mécanisme ou les mécanismes grâce auxquels cela se passe sont flous. »

La citation ci-dessus est tirée d’une revue de littérature qui a plus de 10 ans. Le travail présenté ici nous montre maintenant quels sont ces mécanismes qui étaient avant incertains.

Le jeûne fait de bonnes choses pour le cerveau, et c’est évident, grâce à tous les bénéfices des changements neurochimiques qui se produisent dans le cerveau quand nous jeûnons. Cela améliore également les fonctions cognitives, cela améliore les facteurs neurotropes, améliore la résistance au stress et réduit l’inflammation.

Le jeûne est une épreuve pour votre cerveau. Et le cerveau répond à ce challenge en adaptant les réponses habituelles au stress, ce qui aide votre cerveau à mieux se battre contre le stress et les maladies. Les mêmes changements qui se déroulent dans le cerveau durant le jeûne imitent les changements qui arrivent avec un exercice physique régulier. Ils améliorent tous les deux la production de protéines dans le cerveau (facteurs neurotropes) ce qui a pour résultat de promouvoir la croissance des neurones, la connexion entre les neurones, et la force des synapses.

« Les épreuves pour votre cerveau, que ce soit un jeûne intermittent ou des exercices intenses, vigoureux… sont des épreuves d’apprentissage. Quand ceci arrive, les circuits neuronaux sont activés, les niveaux de facteurs neurotropes augmentent, ce qui promeut la croissance des neurones et la formation et le renforcement des synapses… »

Le jeûne peut également stimuler la production de nouvelles cellules nerveuses depuis des cellules souches dans l’hypothalamus. Il mentionne également les ketones (une source d’énergie pour les neurones), et indique comment le jeûne stimule leur production et augmente également le nombre des mitochondries dans les neurones et dans les cellules nerveuses.

En augmentant le nombre de mitochondries dans les neurones, la capacité des neurones à se former et à maintenir les connexions entre eux, s’améliore également, et donc améliore l’apprentissage et la mémoire.

« Le jeûne intermittent améliore la capacité des cellules nerveuses à réparer l’ADN »

Il développe également les aspects évolutionnistes de cette théorie : Comment nos ancêtres s’adaptaient et étaient construits pour de longues périodes de temps sans nourriture ?

Une étude publiée le 5 juin par des chercheurs de l’Université de Californie du Sud a montré que des cycles de jeûnes prolongés protégeaient le système nerveux des dégénérescences et, de plus, provoquait la régénération du système nerveux.

Ils en ont conclu que le jeûne transformait les cellules souches de l’état latent à un état d’auto-régénération. Cela déclenche la régénération des cellules souches d’un organe ou d’un système.

Les essais sur l’humain ont été menés en utilisant des patients qui recevaient une chimiothérapie. Pendant de longues périodes de temps, les patients ne mangeaient pas, ce qui diminua significativement le nombre de leurs globules blancs. Pour les souris, les cycles de jeûne « entrainaient une régénération, changeant les circuits habituels des globules rouges, cellules responsables de la fabrication du sang et du système immunitaire ». Ceci signifie que le jeûne éradique les cellules immunitaires quand elles sont vieilles et abîmées. Ensuite quand le corps s’adapte, il utilise les cellules souches pour créer de nouvelles cellules complètement saines.

« On ne peut pas prédire qu’un jeûne prolongé aura un effet aussi remarquable dans le développement des cellules souches du système hématopoïque… Quand vous avez faim, le système essaie d’économiser de l’énergie, et une des choses qu’il puisse faire pour sauver de l’énergie, est de recycler beaucoup des cellules du système immunitaire qui ne sont pas nécessaires, spécialement celles qui sont endommagées. Ce que nous commençons à remarquer à la fois dans notre travail sur les humains et les animaux est que : le compte de globules blancs diminue avec le jeûne prolongé. Alors quand vous vous re-nourrissez, les globules rouges reviennent. » – Valter Longo, correspondant

Une revue regroupant de nombreuses études scientifiques concernant le jeûne a été publié dans le « Journal Américain de l’Alimentation Clinique » en 2007, et a examiné une multitude d’études à la fois sur des humains et des animaux et ils découvrirent que le jeûne est une manière efficace de réduire le risque de maladies cardiovasculaires et de cancer. Il a également montré son fort potentiel dans le traitement du diabète.

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Avant de jeûner

Avant de jeûner soyez sûr d’avoir mené votre enquête. Personnellement je pratique le jeûne depuis des années, donc c’est quelque chose de facile pour moi. Une manière de jeûner que je vous recommande, et qui s’appelle « le régime 5/2 » a été testé par le présentateur de la BBC, Michael Mosley, afin d’inverser son diabète, son fort taux de cholestérol, et tous les problèmes qui étaient associés à son obésité.

D’après le programme 5/2, vous ne mangez plus que 1/4 des quantités habituelles les jours de jeûne (600 calories pour les hommes, 500 pour les femmes), tout en buvant beaucoup d’eau et de tisanes. Les autres 5 jours de la semaine, vous pouvez manger normalement.

Une autre manière de faire, est de restreindre votre prise de nourriture aux heures situées entre 11h et 19h tous les jours, et de ne pas manger en dehors de ces heures là.

Et dernière chose, vos intentions, sont de mon point de vue, une des plus, si ce n’est la plus importante des étapes pour être en bonne santé. Comment vous pensez à ce que vous mettez dans votre corps est important, et je crois que ceci sera finalement établi dans la littérature scientifique du future : pure, intègre et indépendante.

Les stages de Printemps

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Les 15 vertus ou ’SHILLA’ d’après les ‘Yoga-sûtras’ de Patanjali

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  1. Pardonnez.

  2. Soyez large d’esprit.

  3. Contrôlez en permanence votre comportement et votre humeur.

  4. Soyez prêt à tout sacrifier de votre vie personnelle pour votre idéal spirituel.

  5. Ayez un total contrôle de vous-même.

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  1. Que votre attitude soit douce et souriante.

  2. Faites preuve de courage moral.

  3. Donnez l’exemple par votre conduite avant de demander à autrui de faire la même chose.

  4. 
Gardez-vous de condamner, critiquer ou calomnier autrui, ainsi que de toutes sortes d’esprit de clan.

  5. Suivez strictement les principes moraux spirituels

  6. Si vous agissez mal sans vous en rendre compte ou par négligence, admettez-le immédiatement et demandez ce que vous pouvez faire pour vous corriger.

  7. Même dans vos rapports avec une personne de nature hostile, soyez sans haine, sans colère et sans vanité.

  8. Gardez-vous des bavardages.

  9. Soyez discipliné.

  10. Faites preuve du sens des responsabilités.

 

Quelques idées de cadeaux de Noël pour vos proches, ou de résolutions pour vous -même …. 

 

1. Yama… 2. Niyama…

Les principes moraux spirituels

dans la tradition indienne des « Yoga Sutra » 

 

« Le potentiel d’une humanité idéale réside dans les principes de yama-niyama. Ceux qui sont bien établis en eux se sont libérés de leurs ennemis et entraves intérieurs. » Shrii Shrii Ánandamúrt

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Yama et Niyama forment les deux premiers points des traditionnels « 8 membres du Yoga » (astânga) selon les écrits intitulés « Yoga Sutras » de Patanjali probablement écrits autour de 200 avant J-C.

8 membres du yoga

1. Yama :
 guide de conduite dans le monde extérieur

  • L’innocuité (Ahim’sá) : ne pas nuire
  • La vérité (Satya) : être juste
  • L’honnêteté (Asteya) : ne pas voler ni priver autrui de son dû
  • La pensée de Dieu (Brahmacarya) : voir « le créateur » en toute chose
  • Une vie simple (Aparigraha) : s’abstenir du superflu

 

2. Niyama :
 guide de conduite dans notre monde intérieur 

  • La pureté (Shaoca) : pureté mentale, propreté du corps et de son environnement
  • 
Le contentement (Santos’a) : maintenir un état d’esprit positif
  • 
La pénitence (Tapah) : se donner du mal pour rendre service
  • 
La lecture spirituelle (Svádhyáya) : s’instruire spirituellement
  • La méditation (Iishvara pran’idhána) : Se recueillir en « le maître de toutes choses » et s’abandonner à lui

 

Si vous avez des expériences à partager … vous êtes les bienvenus ci-dessous !

 

D’où vient le pouvoir guérisseur du Son ?

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Nous pouvons nous en rendre compte quand nous allumons la radio et que passe notre chanson préférée, ou quand nous nous asseyons silencieusement pour écouter tomber la pluie. Il y a une paix palpable quand nous sommes absorbés dans le silence et une autre sorte de ressourcement quand nous entendons le vent dans les arbres. Il n’y a aucun doute que le son a un effet subtil mais profond sur notre corps, notre âme et notre esprit. Comment le son fonctionne t-il exactement, comment nous guérit-il ? Exactement comme un orchestre, vous pouvez accorder votre corps.

Avez-vous déjà entendu un orchestre se préparer à jouer une symphonie vivifiante ? Il y a d’abord une cacophonie avec les bois et les cordes, les cors et les timbales provoquant un sacré bazar, mais quand ils accordent leurs instruments précisément, le son déferle sur vous comme une vague, et peut apporter une paix et une excitation qui surpasse certaines des pratiques les plus fortifiantes sur la Terre comme le saut en parachute ou de sauter dans une cave sombre à 15 mètres de hauteur.

Le corps fonctionne de la même manière. Si un seul instrument (organe ou système organique) joue à son propre rythme, et non en harmonie avec le reste du corps, la maladie va plus surement apparaître. Comme le sonothérapeuthe John Beaulieu, ND, PhD explique : « Le principe fondamental de la médecine énergétique est qu’un réseau énergétique sous-jacent génère des comportements et des symptômes physiques, émotionnels et mentaux. Si nous changeons le champ énergétique, les comportements physiques, émotionnels et mentaux vont changer ».

Cymatique

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Une des manières les plus efficaces pour changer le champ d’énergie est par une science appelée cymatique. Bien qu’il ne fût pas le premier a découvrir que le son pouvait guérir, Dr Hans Jenny, M.D. de Basel en Suisse a réuni des expériences fascinantes lors desquelles il pouvait littéralement « voir » comment le son fonctionne. Jenny a créé la « Cymatique » quand il a mis du sable, des fluides, or d’autres poudres sur une plaque de métal qui était reliée a un oscillateur. Un oscillateur est essentiellement un vibrateur, mais celui-ci était contrôllé par un générateur qui était capable de produire des milliers de types de fréquences, certaines pouvant se trouver dans la Nature, d’autres créées par l’homme.

En changeant les fréquences sur l’oscillateur, Jenny a découvert que le sable, ou l’eau et qu’elle que soit la substance qu’il utilisait pour créer un moyen visible pour ce son, cela allait se transformer en formes très intéressantes. Ces formes imitaient les propriétés de la géométrie sacrée, et plus la fréquence était élevée plus les formes apparaissaient être complexes.

Il écrivit : « Puisque les différents aspects de ces phénomènes sont dus à la vibration, nous sommes confrontés à un spectre qui révèle d’un côté une formation à motifs figuratifs et de l’autre un processus kinétique et dynamique, le tout généré et soutenu par son essence périodique ».

Ce qu’observait Jenny était une manière très simple d’observer la matière devenir vivante. Maintenant nous comprenons, à travers les sciences émergentes de la physique quantique, que ces motifs résultent de vagues d’énergie, les plaques montraient au scientifique un phénomène similaire. Dans l’ancienne société sumérienne, ceci était un fait connu. C’est pourquoi des pratiques telles que la récitation de mantras étaient tenues en haute estime. La syllabe originelle, OM, par exemple, provoque une certaine fréquence qu’elle imprime sur la matière autour d’elle, et donc change le champ d’énergie.

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« Le type de chansons que nous faisons calme l’esprit et nous aide à vivre en paix avec notre monde et avec les autres », dit l’abbé Philip Lawrence, un érudit des chants, leader de la communauté du Monastère du Christ du Désert – maison d’un ordre américain de moines bénédictins de Abiquiu, au Nouveau Mexique. « Chanter a un effet étrange sur les ondes cérébrales selon de nombreuses études », continue l’Abbé Philipe, mais cet effet n’est certainement pas l’objectif des moines du Désert ; c’est plutôt, « de se concentrer sur les mots d’avantage que sur la performance de produire des voix ou de lire la musique. Notre espoir est toujours que nos chants apportent aux autres la paix, la tranquillité intérieure et une appréciation de la beauté. Ces valeurs peuvent aider à créer un monde dans lequel prévalent la paix et la tranquillité. »

Comme la matière n’est qu’une fréquence différente de la vague d’effondrement, ou du champ quantique, alors nous avons la possibilité de créer une réalité différente avec le son.

Le son et le nombre d’or

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On peut voir dans la science du son, la possibilité d’une grande guérison. L’image du Sri Yantra, un mandala créé par le son, a été paraît-il imaginé par un yogi en méditation profonde. C’est une représentation d’un des plus vieux son du monde. Certains l’appellent la manifestation du son divin. Les triangles qui apparaissent dans le Sri Yantra sont parfaitement harmonieux et fondés sur le nombre sacré, Pi, qui est aussi la base du ratio d’or, Phi. Le philosophe Grec, Pythagore comprit le son et la géométrie sacrée, et c’est pourquoi par la suite, Euclide a écrit sur le sujet dans « Les éléments », en 300 avant J-C, puis Luca Pacioli, un contemporain de Léonard de Vinci, dans « De Divina Proportione » en 1509, et Johannes Kepler autour de 1600. Beaucoup d’autres à travers les âges connaissaient cette « mathématique cosmique » et son pouvoir de guérison.

Les harmonies du son travaillent pour créer un ordre à partir du chaos. Les maladies, vous pouvez le concevoir, sont une forme de chaos dans le corps. Selon le Dr Robert Friedman, la connexion entre le ration d’or et la santé idéale ne fait aucun doute. Pendant ses recherches dans les années 80’s, le Dr Friedman a commencé à observer le ratio d’or dans le corps humain – à des niveaux anatomiques, physiologiques, et moléculaires. « Plus je regardais en profondeur », dit Friedman, « plus profondément je découvrais que cet incroyable et omniprésent Code était intégré à la structure et aux fonctions du corps… ce qui a pour conséquences que plus quelqu’un s’harmonise avec ce grand principe, plus la vie se déroule efficacement et sans efforts. »

Les fréquences de guérison

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Qu’est ce que la maladie ?

Les problèmes émotionnels qui sont non résolus bloquent les vibrations de guérison et provoquent un état maladif en retour. –R Gordon

A travers les millénaires, ceux qui ont étudiés la science du son, en sont venus à penser que certaines fréquences sont très guérisseuses pour le corps humain. Par dessus tout, cependant, vous essayez de créer une résonance –

« Quand deux systèmes vibrent à différentes fréquences, il y a une force impulsive appelée résonance qui conduit les deux à transférer de l’énergie de l’un à l’autre. Quand deux systèmes accordés de manière similaire vibrent à des fréquences différentes, il y a un autre aspect de ce transfert d’énergie appelé « entrainement », qui les conduit à s’aligner et à vibrer à la même fréquence. » R. Gordon

Quand on « entraine » avec des fréquences guérisseuses, notre corps et notre esprit vibrent à l’unisson. par exemple :

285 Hz – Signifie aux cellules et aux tissus la guérison. Laisse une impression de rajeunissement du corps

396 Hz – Libère de la culpabilité et de la peur pour laisser la place à des émotions aux vibrations plus hautes

417 Hz – Autorise le lâcher prise lors de situations difficiles.

528 Hz – Connu pour guérir l’AND, réparer les cellules et éveiller la conscience.

639 Hz – Ceci est la vibration associée au cœur. Elle laisser s’empandre les sentiments d’amour pour soi et pour autrui jusqu’à ce qu’il n’y est plus de distinction entre les deux. Pour équilibrer les relations, écoutez cette fréquence.

741 Hz – Connu pour nettoyer les cellules et les guérir de l’exposition aux radiations électromagnétiques. Aide à transformer quelqu’un pour qu’il/elle aille vers son pouvoir personnel et à l’aider à créer la réalité qu’il/elle souhaite voir se réaliser.

852 Hz – Eveil de l’intuition.

963 Hz – Active la glande pinéale et aligne le corps avec son parfait état originel.

Bien sûr il existe de nombreuses autres fréquences, dont beaucoup ne sont même pas audibles par l’être humain, cependant. George Lakhovsky, un ingénieur russe comprit lui aussi le pouvoir du son. Il comprit que certaines fréquences font permettre à un être de grandir en étant plus fort.

J’espère que vous pouvez trouver de la guérison dans les fréquences que j’ai décrites ci-dessus et que cette introduction à pourquoi le son guérit-il va vous encourager à aller plus loin.

« Aux racines de tout pouvoir et de tout mouvement, il y a la musique et le rythme, le jeu des fréquences à motifs contre la matrice du temps. Nous savons que chaque particule de l’univers physique prend ses caractéristiques de la hauteur et des formes et des harmoniques de sa fréquence particulière. Ca chante. Avant que nous fassions de la musique, la musique nous fait. » Joachim-Ernst Berendt, The World is Sound

Source originale de l’article en anglais : http://upliftconnect.com/why-sound-heals/

Pourquoi les âmes sensibles ont-elles besoin de rituels ?

article original de Kathryn Nulf « Why Sensitive Souls Need Rituals. » (traduit de l’américain par mes soins)

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Il y a bien un an de ca, j’écoutais alors le même CD toutes les nuits avant de m’endormir. Je ne m’en lassais pas. J’aimais savoir à quoi m’attendre. Je connaissais l’ordre des chansons, la manière dont les choses commençaient et la manière dont la musique progressait.

J’aimais avoir quelque chose de familier ici pour moi nuit après nuit avant de dormir. C’était ma manière d’être là pour moi encore et encore.

Les paroles avaient un sens c’est sûr. Mais je ressentais leurs mélodies plus que les mots, profondément en moi.

Je ne savais pas ce que « personne hypersensible » signifiait à l’époque. Je savais juste que j’avançais dans la vie en ressentant les choses intensément. J’aimais savoir à quoi m’attendre. J’aimais les habitudes (comme j’étais au lycée dans un lieu étranger, loin de chez moi).

Et écouter le même CD toutes les nuits était mon habitude. C’était parfaitement naturel pour moi.

C’est quand j’en ai parlé aux autres que j’ai reçus des « hein !? » en guise de réponse. Je ne sais pas pourquoi mais je pense qu’ils auraient pu comprendre si eux aussi le faisaient. C’était si naturel pour moi que j’ai assumé de le faire aux yeux de tous.

Pour les hypersensibles, avoir des rituels quotidiens dans leurs vies peut les aider à se sentir en harmonie avec leur monde, au lieu de n’être que dépassé par lui la plupart du temps. Ecouter ce CD tous les soirs a été le point de départ pour accueillir les rituels dans ma vie.

Les rituels peuvent avoir un profond impact sur nous les hypersensibles : Ils nous calment et nous enracinent, adoucissent l’esprit, nous ralentissent, nous rappellent de vivre dans le moment présent, nourrissent notre âme et nous rappellent que nous sommes responsables de notre propre bien-être.

Pensons à ce que nous aimons faire : Qu’est ce qui adoucit notre âme ? Qu’est ce qui nous réconforte et nous ramène à la vie en même temps ?

Les rituels ont un effet calmant sur notre système nerveux car cela nous donne quelque chose à attendre qui est à la fois libérateur et enracinant. Il nous sort de notre tête (Y a-t-il quelqu’un d’autre que moi qui vit là haut 24h sur 24 ?) et nous ramène à nos corps. Il nous offre une pause hors de ce cerveau trop actif et nous laisse juste nous reposer ici, là, maintenant.

Pratiquer des rituels quotidiens est idéal car cela nous annonce qu’il y a du calme prévu au programme. Si nous n’avons pas encore réalisé cela, prendre soin de soi est très important pour les hypersensibles.

Alors quel exemple de rituel ?

Nous n’avons pas besoin d’écouter la même musique toutes les nuits pour ajouter un rituel à notre vie, promis ! Réfléchissez à ce qui vous pose. Parce que les hypersensibles vivent dans leur tête la plupart du temps, nous devons nous demander ce qui nous ramène sur terre. Qu’est ce qui nous pose ?

Quelques exemples :

  1. boire une tasse de thé chaud chaque matin en lisant un livre
  2. balader notre chien dans notre parc préféré
  3. écouter la musique que nous aimons et faire une pause « danse !! »(mon préféré !)
  4. vous mettre à l’écoute de vous-même en méditant
  5. étirer votre corps et respirer
  6. écrire un journal
  7. vous demander envers quoi vous éprouvez de la gratitude

Peut être est-ce la combinaison de ces exemples ou quelque chose de complètement différent ? Si nous avons du mal à trouver quel rituel pourrait fonctionner pour nous, pensons à ce qui nous enracine et qui apporte plus d’équilibre à notre vie.

Jetons quelques idées sur le papier et obtenons une bonne liste à laquelle nous pourrons nous référer plus tard. Essayons quelque chose quelques jours ou une semaine et voyons comment nous nous sentons.

Au début ca paraît être beaucoup de choses à faire.

C’est important aussi de se souvenir que les hypersensibles ont tendance à ne pas aimer les structures, à moins quelles soient de leur propre création. Se tenir à un rituel fait cela justement – reprendre le pouvoir entre nos mains et créer un équilibre dans le déroulement de nos vies, un rituel à la fois. S’impliquer dans un rituel quotidien est une manière pour les hypersensibles de travailler avec leur spécificité et non contre elle.

Nous avons besoin de plus de temps d’introversion que la moyenne des gens, et prendre du temps chaque jour pour un rituel qui a du sens est notre temps pour nous reconnecter à nous-même. Qu’est ce qui vient en tête quand nous pensons à un rituel quotidien ? Faisons-nous déjà quelque chose tous les jours que nous pourrions considérer comme un rituel ?

Laissez des commentaires en dessous et partageons nos idées et soutenons-nous les uns les autres.

15 choses que toute « femme qui déchire », « femme sans peurs », « femme alpha » fait différemment des autres types de femmes.

voici un article de brenda-della-casa pour avoir quelques pistes et idées à ce propos. 

Il y a une citation de Laurel Thatcher Ulrich qui dit : « Les femmes bien élevées font rarement l’histoire ». C’est souvent posté sur les tableaux Pinterest » et plaqué sur des cartes postales avec des femmes des années 20’s frappant leurs talons à l’unisson.

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Mais pour moi, cet avis est plus qu’un encouragement à sortir entre filles et à se lâcher ; c’est une célébration des femmes qui choisissent d’être définies par leur courage, leur bravoure et les décisions prises pour vivre la vie qu’elles veulent et non celle qui est appropriée.

Appelez-les audacieuses, sans peur, ou puissantes, elles sont des femmes qui illuminent une pièce de leur énergie magnétique. Elles intimident les étroits d’esprit et inspirent celles qui attendent depuis longtemps une occasion pour elles aussi, alimenter leurs passions et savourer leur indépendance. J’en connais très bien quelques unes et elles ont changé ma vie en m’aidant à libérer la « femme-qui-déchire » qui est en moi. Voici 15 choses que les « femmes-alpha » font différemment des autres :

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#1 Elles cultivent une vie que finalement elles apprécient vivre

Qu’elles soient célibataires, en couple, ou dans une zone grise compliquée, elles sont engagées à créer et vivre une vie qu’elles aiment. Lorsque, à la base, elles ne sont pas à l’aise à 100% elles se dépassent pour suivre le cours, acheter le billet, essayer le restaurant et comprendre que la vie ne va pas les attendre si elles choisissent d’attendre une personne spéciale pour en profiter.

#2 Elles se bougent

Que ce soit aborder un inconnu pour lui dire « bonjour », chercher l’appartement dont elles rêvent, ou demander plus de responsabilités à leur patron, les femmes audacieuses préfèreront risquer de s’entendre dire « non » que de rester là à attendre que quelqu’un leur apporte l’opportunité qu’elles désirent.

#3 Elles ne se dévalorisent pas

Très peu d’hommes et de femmes marchent sur cette terre en se sentant à 100% satisfaits par ce à quoi ils ressemblent et par leur vie. Mais les femmes alpha sont sans peurs et acceptent le fait qu’il y aura toujours quelqu’un de plus jeune, de plus intelligent, de mieux fait qu’elles ne le sont, et elles ne s’en font pas car, et bien, la question n’est pas là ! Ces femmes savent qu’elles ne sont pas définies par leurs attributs (et certainement pas par quelque chose de si petit que quelques capitons sur leur derrière). Elles savent que c’est tout l’ensemble qui compte et que cet ensemble est si génial que l’on se doit d’en parler avec respect.

#4 Elles n’ont pas besoin de petit ami mais sont prêtes à avoir un partenaire

Dans un monde qui parle du célibat comme d’une maladie qui a besoin d’être traitée, c’est rafraichissant de rencontrer une femme qui n’est pas seulement d’accord pour être célibataire mais qui ne veut pas compromettre le temps qu’elle passe avec ses amis, qu’elle consacre à sa carrière, ou à pratiquer ses hobbies juste pour avoir un habitué dans leur vie. Les femmes sans peurs ne cherchent pas un sauveur, un bienfaiteur ou un homme objet. En fait, elles ne cherchent même pas. Une femme audacieuse est cependant excitée quand elle rencontre un homme qui la comprend, l’accepte, la respecte, se respecte lui même et qui regarde dans la même direction qu’elle le fait.

#5 Elles ne perdent pas leur temps à espérer

Nous avons tous vécus des situations où nous aurions aimer agir différemment mais une femme audacieuse sait que la seule chose que le passé puisse faire pour elle est de lui servir de leçon à propos de comment faire de son mieux ici et maintenant.

#6 Elles demandent aux gens de …

Elles ne sont pas le genre de femmes à attendre silencieusement en face de quelqu’un, en se sentant insultée ou manquée de respect pour ensuite s’en plaindre en buvant des cocktails. Elles vont rappeler ces gens à l’ordre, indiquer quelles sont leurs limites et passer à autre chose.

#7 Elles savent quand partir

Elles savent que se plier à toutes les exigences dans le but que quelque chose fonctionne : une relation d’amitié, une relation amoureuse, une mauvaise décision, signifie la plupart du temps qu’elles investissent du temps et de l’énergie dans quelque chose qui n’offre pas de retour à la hauteur.

#8 Elle préfèrent être face à face

Des envois de textos spirituels entre deux rendez-vous peuvent servir de fabuleux préliminaires mais passer jour après jour près jour à texter un type que vous ne voyez jamais ? Les femmes sans peurs et concentrées ne sont pas à la recherche de correspondants. Au lieu de passer des heures à répondre à des smiley, ces femmes encouragent le face à face parce qu’elles savent qu’un homme sérieusement intéressé va avoir envie de voir leur véritable sourire en temps réel !

#9 Elles se donnent une vraie chance de rencontrer quelqu’un…

…Et ne se contentent pas d’être inscrites à des sites de rencontres.

#10 Elles ne prétendent pas être dans un épisode du « Bachelor »

Se battre par les attentions d’un homme ? Vous plaisantez ?

#11 Elles ne prétendent pas pour autant être une Kardashian

Elles aspirent à briller dans la réalité et pas à être une star de Téléréalité !

#12 Elles se voient comme un investissement

Elles sont fières d’elles-mêmes. De leurs mots, de leur éthique, de leur réputation, de leurs amitiés, de leur manucure et de leur poignée de main, ces femmes investissent en elles-même sans la moindre once de culpabilité.

#13 Elles ne jouent pas les victimes

Elles savent que des gens vont créer des choses, pour ensuite les laisser tomber et même carrément déconner – c’est la vie. Ce qu’elles ne feront pas, c’est revivre ce scenario un million de fois. Elles savent qu’elles contrôlent entièrement et pleinement leurs réactions à une situation. Et si cela se durcit, elles apprennent leurs leçons, remontent leurs manches et se durcissent en retour.

#14 Elles osent y aller

Quel que soit ce « truc » : le poste, le type, la bucket-list expérience, adopter un bébé seule, ces femmes s’organisent, font un plan et réalisent leur seule et unique idée du bonheur.

#15 Elles ne vont jamais mettre leurs vies de côté pour correspondre à l’idée que quelqu’un d’autre se fait de ce qu’elles devraient être

Au contraire, elles prennent le volant, mettent leur chanson préférée dans le poste et suivent la direction de leurs rêves.